Bonjour,
Avec « le moi(s) sans tabac » qui est un défi collectif qui propose aux fumeurs avec le soutien de leurs proches d’arrêter pendant un mois, j’ai décidé de vous partager mon expérience et surtout mes erreurs pour vous éviter de commettre les mêmes fautes. Cette année, ce mouvement a pris de l’ampleur et est devenu un sujet d’actualité. Je vous mettrais les liens en fin de l’article si vous souhaitez avoir plus d’information et vous procurer le kit gratuitement.
Aujourd’hui je vais vous raconter comment j’ai arrêté de fumer depuis 3 ans maintenant. Avant cela, je pense important de vous présenter le type de fumeuse que j’étais.
le tabac et moi
Parlons chiffre : j’ai fumé pendant 15 ans. J’étais comme tout gros fumeurs totalement dépendante. Ni la pluie ni la neige ne m’arrêtait. Je ne pouvais pas commencer ma journée sans une cigarette. Un peu comme certains qui ont besoin de leur café et ne peuvent rien faire sans. Mon entourage ne pensait pas me voir un jour arrêter. Beaucoup même ont été étonné de l’apprendre. Ils n’ont pas manqué de me féliciter car ils imaginaient combien ça avait du être difficile. Dans le passé, j’avais essayé d’arrêter mais j’avais accumulé les échecs et surtout les kilos. La première fois, j’ai pris 10 kilos pour vous donner une idée. Heureusement les autres fois, j’en ai pris moins car j’étais plus vigilante. Entre les kilos, la difficulté et les échecs je n’étais plus motivée… Pendant 5 ans, il n’était plus question d’arrêter.
le tabac jusqu’au jour
Suite à des soucis de santé (le genre de soucis qui ne vous laisse plus le choix), j’ai du revoir ma décision mais surtout arrêter définitivement le tabac du jour au lendemain. Je vous laisse imaginer dans quel état d’esprit j’étais. Cette fois-ci je ne pouvais pas me permettre d’échouer. Se débarrasser de ses habitudes et de ses réflexes de fumeurs c’est loin d’être simple. Parfois, on ne prend conscience de ses automatismes que lorsque l’on cesse de fumer. Par exemple, j’ai réalisé que je fumais à chaque fois que j’étais en conversation téléphonique. C’était mécanique… je me surprenais à chercher mon paquet de cigarette ou mon briquet alors que je ne fumais plus. Surmonter le manque de nicotine n’a pas été une mince affaire. D’autant plus, que je n’ai utilisé aucune aide (patchs, gommes, cigarette électronique sans nicotine) pour cause d’allergies lors des précédentes tentatives. Pour ce qui est des sprays ou médicaments, j’ai préféré faire sans mais ça reste un choix personnel. J’ai donc arrêté naturellement de fumer sans rien juste avec la motivation.
et aujourd’hui ma vie sans tabac
Quand mon tabac fermait avant c’était le drame. Je ne m ‘en soucie plus… C’est agréable de ne plus stresser à la vue d’un paquet presque vide. Plus besoin de me préoccuper de mon outil principal : le briquet. J’apprécie de ne plus avoir besoin de chercher un tabac ouvert le dimanche.
L’envie de nicotine était omniprésente de jour comme de nuit. Aujourd’hui encore elle est présente mais beaucoup moins intense. J’y pense encore. Je rêve encore de cigarette. Pendant un moment je me voyais seulement comme ancien fumeur. A présent, je me sens enfin non-fumeur.
Mon expérience a été différente de celle des anciens fumeurs que je connais. Ils avaient une sensation de bien-être et de liberté que je n’ai jamais éprouvé. Ils ont tiré un trait sur leur passé de fumeur. Ils ont un sommeil de bébé. A les écouter, leur vie avait changé…
Je dirais que je n’ai pas vécu cet évènement si soudain avec autant de plaisir et de satisfaction qu’eux. D’un côté, nous n’avons pas mis fin à notre accoutumance dans les mêmes conditions. Pour ma part, je n’étais pas prête.
Ce n’est pas parce que mon vécu est loin d’être aussi idyllique, qu’il faut hésiter pour franchir le pas.
et pour le poids
Les premiers mois, j’étais prudente et attentive à mon alimentation, je n’avais pris que peu de poids. Malheureusement, j’ai relâché mes efforts (chose que je n’aurais pas dû) pensant qu’après plusieurs mois je ne risquais plus grands choses. Bref, je vous laisse imaginer le résultat : j’ai grossis. Je suis de nature à grossir rapidement si je ne fais pas attention. Cette nouvelle vie sans nicotine n’est pas la seule responsable de cette prise de poids. Elle y a contribué certes mais avec une meilleur hygiène de vie elle peut-être limitée.
Les méthodes alternatives
- l’acupuncture
- l’hypnose
- l’homéopathie
- la phytothérapie
- l’aromathérapie
- l’auriculothérapie
- la mésothérapie
- la sophrologie et
- la cure thermale de sevrage
L’acupuncture et l’hypnose obtiennent de bons résultats en général. La sophrologie peut être un plus pour vous accompagner dans ce combat.
#moissanstabac
Pour finir, si vous souhaitez rejoindre le mouvement #moissanstabac ou vous renseigner cliquez ici.
Pour recevoir le kit gratuitement c’est ici.
kit homéopathique
Si vous êtes à la recherche d’une méthode douce, l’homéopathie peut vous aider. Pour vous simplifier les choses, il existe un kit homéopathique composé de :
NUX VOMICA 5CH
ARGENTUM NITRICUM 9CH
CALADIUM 5CH
LOBELIA INFLATA 5CH
GELSEMIUM 9CH
Et vous avez-vous arrêté ? Comment avez-vous arrêté ? Avez-vous essayé l’hypnose ou l’acupuncture ?
Je prévois une mise à jour prochainement de cet article pour le rendre plus complet.
No Comments